Riditch di Aquilon: Unterschied zwischen den Versionen

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{{Homin|lucio=SerReedeek.png|nom=Riditch di Aquilon,<br/>alias Reedeek|rôle=Ambassadeur Royal |guilde=[[Guilde:Gardiens du Savoir|Gardiens du Savoir]]|race=Matis|nationalité=[[Matis]]|culte=karavan|atysien=}}
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{{Homin
'''Riditch di Aquilon''' plus connu sous le nom de '''Reedeek''', était un Duc de la Maison [[Aquilon]], officier et porte-parole des [[Guilde:Gardiens du Savoir|Gardiens du Savoir]]. C'était un ambassadeur royal qui œuvra activement pour la paix et devint Commissaire <abbr title="Traité pour l'Équilibre des Nations Atysiennes dans les Nouvelles Terres.">TENANT</abbr><ref>Cette commission s'applique à suivre et faire suivre le [[Traité pour l'Équilibre des Nations Atysiennes dans les Nouvelles Terres]]</ref> du Royaume.
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|lang=de
==Biographie==
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|lucio=SerReedeek.png
Mon véritable nom est Riditch, mais tout le monde m'appelle Reedeek depuis que ma nourrice [[tryker]] m'a surnommé ainsi.
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|name=Riditch di Aquilon,<br/>alias Reedeek
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|rank=Königlicher Botschafter
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|guild=[[:fr:Guilde:Gardiens du Savoir|Gardiens du Savoir]]
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|race=Matis
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|nation=[[Matis]]
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|atysien=
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'''Riditch di Aquilon''' besser bekannt als '''Reedeek''', war ein Herzog aus dem Hause [[Aquilon]], Offizier und Sprecher der [[Gilde:Hüter des Wissens|Wächter des Wissens]]. Er war ein königlicher Botschafter, der sich aktiv für den Frieden einsetzte und ihn als Kommissar der <abbr title="Vertrag für das Gleichgewicht der atysianischen Nationen in den Neuen Ländern.">TENANT</abbr><ref>Diese Kommission bemüht sich, den [[Vertrag für das Gleichgewicht der atysischen Nationen in den neuen Landen]] durchzusetzen.</ref> des Königreichs überwachte und weiterentwickelte.
  
Je vis le jour en même temps que ma sœur en l’an [[2540]]. Notre mère nous avait confié à une vieille Tryker qui nous élevait dans un lieu reculé. Notre nourrice nous avait expliqué qu’elle avait fait cela dans le but de nous protéger, mais elle ne nous avoua jamais de quoi on cherchait à nous protéger. La Tryker nous avait affectueusement appelés Reedeek et Reda' avec son charmant petit accent Tryker et elle nous éleva dans les anciennes croyances et dans le respect de la vie [[homin]]e. Selon elle, c’est ce qu’auraient souhaité nos parents.
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== Biographie ==
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Mein richtiger Name ist Riditch, aber alle nennen mich Reedeek, seit meine [[Tryker]]-Amme mich so genannt hat.
  
Je ne me rappelle pas grand-chose avant la grande fuite face à un essaim de [[Kitin]]s de passage... j'étais encore jeune, facilement impressionnable. Dans notre fuite, nous vîmes une colonne de réfugiés venant de tous les horizons. Conscient que notre survie serait plus assurée dans un groupe, nous nous mêlâmes à eux. Nous ne fûmes pas à l’abri pour autant et le nombre de réfugiés diminua au fur et à mesure de nos rencontres avec les Kitins, les prédateurs et les brigands.
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Ich erblickte zusammen mit meiner Schwester im Jahr [[2540]] das Licht der Welt. Unsere Mutter hatte uns einer alten Trykerin anvertraut, die uns in einer abgelegenen Gegend aufzog. Unsere Amme hatte uns erklärt, daß sie dies getan hatte, um uns zu schützen, aber sie gab uns nie zu, wovor man uns schützen wollte. Die Trykerin hatte uns mit ihrem charmanten kleinen Tryker-Akzent liebevoll Reedeek und Reda' genannt und erzog uns im alten Glauben und mit Respekt vor dem [[Homin]]-Leben. Ihrer Meinung nach hätten unsere Eltern das auch so gewollt.
  
Mais un autre danger nous guettait : plusieurs membres avaient été contaminés par la [[Goo]] et finirent par s’en prendre aux autres dans un moment de folie meurtrière. J'ai moi-même failli perdre ma [[Graine de Vie|graine de vie]] à ce moment-là, mais mon agresseur fut foudroyé par un couple de grands [[Zorai]]s : le Dr Rorschak et sa femme. Tels deux exterminateurs, ils commencèrent à massacrer les contaminés. Je profitais de l’occasion pour fuir, perdant de vue ma sœur et notre nourrice.
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Ich erinnere mich nicht an viel vor der großen Flucht vor einem Schwarm durchreisender [[Kitin]] ... ich war noch jung und leicht zu beeindrucken. Auf unserer Flucht sahen wir eine Kolonne von Flüchtlingen, die aus allen Himmelsrichtungen kamen. Da wir wussten, daß unser Überleben in einer Gruppe sicherer war, mischten wir uns unter sie. Wir waren jedoch nicht in Sicherheit und die Zahl der Flüchtlinge nahm ab, je mehr wir auf Kitin, Raubtiere und Räuber trafen.
  
J'ai continué mon existence dans la jungle, devenant un champion de la survie. J'ai appris à trouver ma nourriture moi même, en forant. La chasse aurait pu être une bonne alternative, mais j'ai préféré m'abstenir. Les prédateurs d'[[Atys]] savent punir les présomptueux qui convoitent leur gibier... La leçon est généralement bien apprise par les jeunes homins, car ils ne refont jamais cette erreur idiote... ils n'en font d'ailleurs plus aucune : les trépassés ne font plus d'erreurs. Ces quelques années à forer le sol à la recherche de nourriture m'avaient permis de devenir doué en la matière.
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Doch es lauerte noch eine weitere Gefahr: Einige Mitglieder waren mit [[Goo]] infiziert worden und griffen schließlich in einem Moment des Amoklaufs andere an. Ich selbst hätte in diesem Moment fast meinen [[Lebenssame|Samen des Lebens]] verloren, aber mein Angreifer wurde von einem Paar großer [[Zoraï]] niedergestreckt: Dr. Rorschak und seine Frau. Wie zwei Exterminatoren begannen sie, die Infizierten abzuschlachten. Ich nutzte die Gelegenheit, um zu fliehen, wobei ich meine Schwester und unser Kindermädchen aus den Augen verlor.
  
Après quelques années de survie et coupé de tout, je suis finalement tombé sur d'autres homins. J'avais trouvé le campement de [[Chiang Le Fort]], sur [[Silan]]. Sur place, j'eus le plaisir d'y retrouver ma sœur qui avait été guidée ici par notre nourrice, mais aussi le couple de Zorais qui m'avaient sauvé la vie quelques années auparavant. Ils s'étaient établis sur Silan et aidaient les nouveaux réfugiés. Retrouver ma sœur fut un immense soulagement, et nous nous établîmes également dans le campement de Chiang, leur rendant de menus services de temps à autre. Je me liais également d'amitié avec le Docteur Rorschak et sa femme Chami. C'est d'ailleurs grâce à eux que nous pûmes repartir sur le Continent.
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Ich setzte mein Leben im Dschungel fort und wurde zu einem Meister des Überlebens. Ich lernte, meine Nahrung selbst zu finden, indem ich grub. Die Jagd wäre eine gute Alternative gewesen, aber ich habe es vorgezogen, davon Abstand zu nehmen. Die Raubtiere von [[Atys]] wissen, wie sie die Vermessenen bestrafen, die ihr Wild begehren... Junge Homins lernen ihre Lektion in der Regel gut, denn sie machen diesen dummen Fehler nie wieder ... und sie machen auch keine Fehler mehr: Verstorbene machen keine Fehler mehr. In den Jahren, in denen ich mich auf der Suche nach Nahrung durch den Boden gebohrt hatte, war ich in diesem Bereich sehr gut geworden.
  
Le Dr Rorschak avait des convictions proches de celle de notre vieille nourrice : il soulignait l'importance vitale de l'entraide entre homins... Atys est une planète dangereuse, et seule l'entraide permettra aux homins de faire face à ces diverses menaces. Son pragmatisme, totalement débarrassé des concepts religieux des [[Kami]]s ou de la [[Karavan]], eut un grand impact sur ma façon d'appréhender les choses. Chaque homin doit être aidé, car on ne sait pas si demain cet homin ne vous sauvera pas la vie à son tour.
+
Nach einigen Jahren des Überlebens und abgeschnitten von der Außenwelt stieß ich schließlich auf andere Homins. Ich hatte das Lager von [[Chiang der Starke|Chiang dem Starken]] auf [[Silan]] gefunden. Dort traf ich meine Schwester, die von unserer Amme hierher geführt worden war, und auch das Zoraï-Paar, das mir vor einigen Jahren das Leben gerettet hatte. Sie hatten sich auf Silan niedergelassen und halfen den neuen Flüchtlingen. Es war eine große Erleichterung, meine Schwester wiederzusehen, und wir ließen uns auch in Chiangs Siedlung nieder, wo wir ihnen ab und zu kleine Dienste leisteten. Ich freundete mich auch mit Dr. Rorschak und seiner Frau Chami an. Ihnen war es zu verdanken, daß wir wieder auf den Kontinent reisen konnten.
  
Reda' développa un étrange mal à notre arrivée. Elle ne s’était jamais rapprochée d'autres homins que moi, notre nourrice et, occasionnellement, Rorschak et Chami. Au contact de la Civilisation, il s'avéra qu'un simple contact physique avec autrui pouvait déclencher une transe chez elle. Sa sensibilité au [[Chant d'Atys]], qui avait toujours été une bénédiction dans notre havre de solitude, devenait désormais un handicap. Elle se cloîtra alors dans une pièce secrète de l'[[arbre-maison]], isolée le plus possible des bruits alentour. Elle sortait essentiellement pour aller se promener dans la forêt, y méditer, y forer ou y contempler la magnificence de la Création de la [[Génitrice]]. Pour la protéger, j’avais restreint le nombre de personnes à qui je parlais d'elle. Quelque temps plus tard, lorsque les [[Maraudeur]]s me prirent pour cible à cause de mon engagement pacifiste, je ne pus que me féliciter qu'ils n'aient pas connaissance de l'existence de Reda'. Pas encore, du moins…
+
Dr. Rorschak hatte ähnliche Überzeugungen wie unsere alte Amme: Er betonte, wie wichtig es sei, daß sich die Homins gegenseitig halfen... Atys ist ein gefährlicher Planet, und nur durch gegenseitige Hilfe können die Homins den verschiedenen Bedrohungen begegnen. Sein Pragmatismus, der völlig frei von den religiösen Vorstellungen der [[Kami]] oder der [[Karavan]] war, hatte einen großen Einfluss darauf, wie ich die Dinge betrachtete. Jedem Homin muß geholfen werden, denn man weiß nicht, ob dieser Homin morgen nicht seinerseits einem das Leben rettet.
  
Parallèlement, j'ai eu la chance de rencontrer [[Nanouh]] dans [[Yrkanis (ville)|Yrk]], le premier contact fut tout de suite amical et plaisant, j'ai donc décidé de l'assister un moment chez les Gardiens. Mais les Gardiens ont un devoir vis-à-vis du [[Yrkanis Ier|Roi Yrkanis]] et de la Karavan, devoir qui leur impose parfois des actions qui étaient en contradiction avec mes convictions. Je fus obligé de les quitter pour ne pas leur porter préjudice, mais nous restâmes bons amis. Plus tard, les Gardiens remanièrent leur organisation interne, avec l'ouverture d'un corps « hoministe », et me proposèrent de les rejoindre à nouveau. Heureux de retrouver Nanouh dans un contexte plus favorable à mes convictions, j'ai alors accepté de retourner chez eux.
+
Reda' entwickelte bei unserer Ankunft eine seltsame Krankheit. Sie hatte sich nie anderen Homins als mir, unserem Kindermädchen und gelegentlich Rorschak und Schami genähert. Als sie mit der Zivilisation in Kontakt kam, stellte sich heraus, daß ein einfacher Körperkontakt mit anderen Menschen bei ihr eine Trance auslösen konnte. Ihre Sensibilität für den [[Gesang von Atys]], der in unserer Oase der Einsamkeit immer ein Segen gewesen war, wurde nun zu einem Handicap. Sie zog sich daraufhin in einen geheimen Raum im [[Baumhaus]] zurück, der so weit wie möglich von den Geräuschen der Umgebung abgeschirmt war. Sie kam hauptsächlich heraus, um im Wald spazieren zu gehen, zu meditieren, zu bohren oder die Pracht der Schöpfung der [[Jena|Erzeugerin]] zu bestaunen. Um sie zu schützen, hatte ich die Anzahl der Personen, denen ich von ihr erzählte, eingeschränkt. Als mich einige Zeit später die [[Marodeure]] wegen meines pazifistischen Engagements ins Visier nahmen, konnte ich nur froh sein, daß sie nichts von der Existenz von Reda' wussten. Zumindest noch nicht...
  
Lorsque l'[[Empire Fyros]] et le Royaume Matis entrèrent en guerre, j'étais effaré : presque tous les homins que je croisais ne parlaient que de massacres et de batailles. L'hominité devenait folle et seuls quelques rares homins prêchaient la solution diplomatique. Ce fut au cours d'une [[Assemblée Taliari|séance des Taliaris]] chez les Trykers que j’eus le plaisir de rencontrer une des rares homines privilégiant la sagesse : l’[[Éveillé]]e Zorai [[Ki'atal]]. Ainsi débuta une longue amitié, parsemée d'entraides de la part de chacun. Son calme et sa sagesse devenaient incontournables pour quiconque recherchait la paix, et elle devint vite la Passionaria du mouvement pacifiste qui fit son chemin dans la tête des homins. Aujourd'hui, Ki'atal et tous les membres de la Commission TENANT, chargés de réécrire le Traité des 4 Nations, sont devenus de fidèles amis. Quant à moi, j'ai été mandaté par la famille Royale afin de devenir Ambassadeur du Royaume, mais aussi l’Émissaire Matis pour le rétablissement de la Paix, œuvrant activement pour la paix et servant fidèlement son [[Karan]].
+
Parallel dazu hatte ich das Glück, [[Nanouh]] in [[Yrkanis (Stadt)|Yrk]] zu treffen, der erste Kontakt war sofort freundlich und angenehm, also beschloss ich, ihr eine Weile bei den Wächtern zu assistieren. Aber die Wächter haben eine Pflicht gegenüber [[Yrkanis (König)|König Yrkanis]] und der Karavan, die sie manchmal zu Handlungen zwingt, die im Widerspruch zu meinen Überzeugungen standen. Ich war gezwungen, sie zu verlassen, um ihnen nicht zu schaden, aber wir blieben gute Freunde. Als die Wächter später ihre interne Organisation umgestalteten und ein "hoministisches" Korps eröffneten, boten sie mir an, mich ihnen wieder anzuschließen. Ich war froh, Nanouh in einem Umfeld wiederzutreffen, das meinen Überzeugungen entgegenkam, und stimmte zu, zu ihnen zurückzukehren.
  
Ce n'est que récemment que j'ai découvert la vérité sur ma famille, en me reposant aux thermes de [[Pyr]] avec plusieurs membres des [[Guilde:Wa Kwaï|Wa Kwaï]]. J’eus la surprise de voir Eleena, alias [[Psychee]] « la Zorai blanche », fixer avec intensité le médaillon que je portais autour du cou. Elle me raconta l'histoire de la famille à laquelle appartenait le blason que j'avais sur mon pendentif, c'était l'histoire de sa famille. Plus l'histoire avançait, et plus la vérité apparaissait au grand jour : [[Psychee|Psychée]] était ma mère. La joie, l'incrédulité, la surprise la plus totale se sont succédé à toute allure dans ma tête. Mais au final, c'est bien le plaisir d'avoir retrouvé ma mère qui fut l'émotion qui perdura au fond de moi... Nous avons du retard à rattraper.
+
Als das [[Fyros]]-Imperium und das [[Matis]]-Königreich in den Krieg eintraten, war ich entsetzt: Fast alle Homins, denen ich begegnete, sprachen nur von Massakern und Schlachten. Die Hominheit wurde verrückt und nur einige wenige Homins predigten eine diplomatische Lösung. Während einer [[Taliari-Versammlung|Taliari-Sitzung]] bei den Trykern hatte ich das Vergnügen, eine der wenigen Homins zu treffen, die der Weisheit den Vorzug gaben: die [[Erwachte]] Zoraï [[Ki'atal]]. So begann eine lange Freundschaft, die von gegenseitiger Hilfe geprägt war. Ihre Ruhe und ihre Weisheit waren für jeden, der nach Frieden strebte, unverzichtbar und sie wurde schnell zur Passionaria der Friedensbewegung, die sich in den Köpfen der Homins festsetzte. Heute sind Ki'atal und alle Mitglieder der TENANT-Kommission, die den Vier-Nationen-Vertrag umschreiben sollten, treue Freunde geworden. Was mich betrifft, so wurde ich von der königlichen Familie beauftragt, Botschafter des Königreichs zu werden, aber auch der Matis-Abgesandte für die Wiederherstellung des Friedens, der sich aktiv für den Frieden einsetzt und seinem [[Karan]] treu dient.
  
==Titres et renommée==
+
Erst vor kurzem erfuhr ich die Wahrheit über meine Familie, als ich mich mit mehreren Mitgliedern der [[Gilde:Wa Kwai|Wa Kwai]] in den Thermen von [[Pyr]] erholte. Zu meiner Überraschung sah ich Eleena alias [[Psychee]] "die weiße Zorai", die intensiv auf das Medaillon starrte, das ich um den Hals trug. Sie erzählte mir die Geschichte der Familie, zu der das Wappen an meinem Anhänger gehörte, es war die Geschichte ihrer Familie. Je weiter die Geschichte voranschritt, desto mehr kam die Wahrheit ans Tageslicht: [[Psychee|Psychaea]] war meine Mutter. Freude, Ungläubigkeit und völlige Überraschung wechselten sich in meinem Kopf rasend schnell ab. Aber letztendlich war es doch die Freude, meine Mutter wiedergefunden zu haben, die die Emotion war, die tief in meinem Inneren fortdauerte... Wir haben noch einiges aufzuholen.
*Duc de la Maison Aquilon
 
*Officier et porte-parole des Gardiens du Savoir
 
*Ambassadeur Royal
 
*Commissaire TENANT du Royaume
 
==Hauts faits==
 
==In memoriam==
 
[[Melonez]] était inquiète de voir Reedeek tourner en rond dans le grand salon fraichement rénové, le front en sueur, cherchant vainement, dans les fleurs de [[Rotoa]] et les portraits de sa mère, les réponses aux questions qui le tourmentait.
 
  
Il était troublé. Une énième fois, sa sœur Reda — celle dont il avait fait tout son possible pour cacher l’existence aux yeux de l’hominité afin de la protéger — venait d’être touchée par le chant d’Atys. Ses paroles n’avaient rien d’encourageant : elle n’avait eu de cesse de crier « C’est la Fin ! C’est la Fin de l’Hominité !! » Que pouvaient bien signifier de si funestes propos ?
+
== Titel und Ruhm ==
 +
* Herzog des Hauses Aquilon
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* Offizier und Sprecher der Hüter des Wissens
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* Königlicher Botschafter
 +
* Herrschender Kommissar des Königreichs
  
Il était tout à ses réflexions lorsqu’un Matis de grande prestance passa devant Melonez en lui faisant discrètement signe de ne pas annoncer son arrivée. Melonez regarda le nouvel arrivant en cherchant à le foudroyer du regard, mais elle resta muette et seule la stupeur put se lire sur son visage en découvrant l’identité du Matis.
+
== Errungenschaften ==
  
Reedeek, toujours plongé dans ses pensées, n’avait encore rien vu.
+
== In memoriam ==
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[[Melonez]] war besorgt, als er sah, wie Reedeek in dem großen, frisch renovierten Salon mit schweißnasser Stirn im Kreis lief und vergeblich in den [[Rotoa]]-Blumen und den Porträts seiner Mutter nach Antworten auf die Fragen suchte, die ihn quälten.
  
« Deles silam ser Reedeek, je ne vous dérange pas ? »
+
Er war verwirrt. Zum x-ten Mal war seine Schwester Reda - die Schwester, deren Existenz er mit allen Mitteln vor den Augen der Menschheit verborgen hatte, um sie zu schützen - von dem Lied von Atys berührt worden. Ihre Worte waren nicht ermutigend, denn sie hatte immer wieder gerufen: "Das ist das Ende! Das ist das Ende der Hominheit!!!". Was bedeuteten diese verhängnisvollen Worte?
  
Le Duc se retourna pour faire face à son interlocuteur et se figea à son tour, impressionné par la présence de son invité… Jamais il n’aurait pu croire que l’ancien Karan lui-même vienne lui faire l’honneur d’une visite. Incrédule, il bredouilla :
+
Er dachte gerade darüber nach, als ein hochgewachsener Matis an Melonez vorbeikam und ihm unauffällig zu verstehen gab, daß er seine Ankunft nicht ankündigen sollte. Melonez sah den Neuankömmling an und versuchte, ihn anzustarren, doch sie blieb stumm und nur Verblüffung war auf ihrem Gesicht zu sehen, als sie die Identität des Matis entdeckte.
  
« Na Karan ?! Mais que… ? »
+
Reedeek, der immer noch in Gedanken versunken war, hatte noch nichts gesehen.
  
« Je ne suis plus Karan Duc Reedeek, ce titre est désormais celui de mon fils [[Stevano]]. »
+
« Deles silam Ser Reedeek, ich störe doch nicht? »
  
Le Duc fit la grimace. « Je sais Majesté… Mais pour moi, vous resterez toujours mon Karan. Que me vaut l’honneur de votre visite ? »
+
Der Herzog drehte sich um, um seinem Gesprächspartner gegenüberzustehen, und erstarrte seinerseits, beeindruckt von der Anwesenheit seines Gastes... Nie hätte er geglaubt, dass der ehemalige Karan selbst ihm die Ehre eines Besuches erweisen würde. Ungläubig stammelte er:
  
« Le Duc [[Rodi di Varello|Rodi]] m’a fait part de votre… réticence… à me voir mener l’assaut face aux Kitins. Je viens m’enquérir des raisons qui vous poussent à douter du bien-fondé de ma présence sur le champ de bataille ! Croyez-vous vraiment que je sois trop vieux pour ça ? »
+
« Na Karan?! Aber was...? »
  
« Nec Majesté ! Vous n’y êtes pas ! Me battre à vos cotés sera un honneur pour moi et tous vos Sujets, mais… » La voix du Duc s’étrangla et il n’arriva pas à achever sa phrase.
+
« Ich bin nicht mehr Karan Duc Reedeek, dieser Titel ist nun der meines Sohnes [[Stevano]]. »
  
« Mais quoi ? » Demanda Yrkanis.
+
Der Herzog zog eine Grimasse. « Ich weiß, Majestät... Aber für mich werden Sie immer mein Karan bleiben. Was verschafft mir die Ehre Ihres Besuchs? »
  
Reedeek dévisagea son invité, le visage grave. « Puis-je être franc, Majesté ? »
+
« Herzog [[Rodi di Varello|Rodi]] hat mir von Ihrem ... Widerwillen ... berichtet, mich als Anführer gegen die Kitins zu sehen. Ich möchte wissen, warum Sie meine Anwesenheit auf dem Schlachtfeld anzweifeln! Glauben Sie wirklich, dass ich zu alt dafür bin? »
  
« Faites… Ça me changera de tous ceux qui prennent des gants pour me parler et qui font preuve d’une insupportable complaisance ! Je suis vieux certes, mais je ne suis pas fragile pour autant ! »
+
« Nec Majestät! Sie sind nicht dort! Es ist eine Ehre für mich und alle Ihre Untertanen, an Ihrer Seite zu kämpfen, aber... » Die Stimme des Herzogs war erstickt und er konnte den Satz nicht zu Ende bringen.
  
« Le Duc Rodi nous a déjà dit la même chose Majesté... » fit Reedeek en souriant. « Bien Majesté… Ma sœur et moi partageons un don. Nous sommes tous deux sujets au chant d’Atys… même si elle y est bien plus sensible que moi. J’ai donc moi aussi un petit coté médium et… » Il laissa un instant sa phrase en suspens.
+
« Aber was? » fragte Yrkanis.
  
« Poursuivez, je vous en prie. »
+
Reedeek starrte seinen Gast mit ernstem Gesicht an. « Darf ich offen sprechen, Majestät? »
  
« ... Et j’ai la nette impression que vous avez envisagé cet assaut comme étant un aller simple. J’ai l’intime conviction que vous avez décidé de périr l’épée à la main face à la plus grande menace de l’hominité. »
+
« Das wird mich von all den Leuten ablenken, die mich mit Samthandschuhen anfassen und unerträglich selbstgefällig sind. Ich bin zwar alt, aber deswegen bin ich nicht gebrechlich! »
  
Yrkanis porta son regard sur les Rotoas en fleur, ne cherchant ni à infirmer, ni à confirmer les paroles du Duc.
+
« Herzog Rodi hat uns bereits das Gleiche gesagt, Majestät... », sagte Reedeek lächelnd. « Meine Schwester und ich haben eine gemeinsame Gabe. Wir sind beide anfällig für den Gesang von Atys ... obwohl sie viel empfindlicher dafür ist als ich. Ich habe also auch eine kleine mediale Seite und ... » Er ließ den Satz einen Moment lang stehen.
  
« Lorsqu’on combat une telle menace, la mort est une possibilité que doit envisager chaque guerrier. J’ai mené le peuple Matis sur plus d’un champ de bataille Duc Reedeek, et mes hommes n’ont pas hésité à aller au front en étant tout à fait conscients d’une telle issue. Reculer maintenant serait insulter la mémoire des valeureux homins qui ont donné leur vie pour moi. Comprenez-vous ? »
+
« Bitte fahren Sie fort. »
  
« Je comprends na Karan… Je sais que vous ne souhaitez plus que j’utilise ce titre lorsque je m’adresse à vous, mais j’ai juré allégeance au Roi sous votre règne Majesté. Votre fils fera surement un Karan mémorable, mais il n’est pas Vous. Je n’ai pas oublié ce qu’il Vous a fait… Et à cause de ce passif, je ne pourrais jamais avoir pleinement confiance en lui ! »
+
« ... Und ich habe das starke Gefühl, dass Sie diesen Angriff als Einbahnstraße in Betracht gezogen haben. Ich bin der festen Überzeugung, dass Sie sich entschieden haben, mit dem Schwert in der Hand im Angesicht der größten Bedrohung der Hominität zu sterben. »
  
Yrkanis resta un moment sans voix devant une telle déclaration, mais il se détendit et s’adressa au Noble.
+
Yrkanis richtete seinen Blick auf die blühenden Rotoas und versuchte weder, die Worte des Herzogs zu dementieren noch zu bestätigen.
  
« Lorsque vous dites que vous allez être franc, vous allez assez loin Duc Reedeek ! » fit-il avec un sourire.
+
« Wenn man gegen eine solche Bedrohung kämpft, ist der Tod eine Möglichkeit, die jeder Krieger in Betracht ziehen muss. Ich habe das Volk der Matis auf mehr als einem Schlachtfeld angeführt, Herzog Reedeek, und meine Männer haben nicht gezögert, an die Front zu gehen, obwohl sie sich eines solchen Ausgangs durchaus bewusst waren. Jetzt einen Rückzieher zu machen, würde das Andenken der tapferen Homins beleidigen, die ihr Leben für mich geopfert haben. Verstehen Sie das? »
  
« Je sais Majesté… puissiez-vous me pardonner cette liberté d’expression. »
+
« Ich verstehe na Karan... Ich weiß, dass Sie nicht möchten, dass ich diesen Titel benutze, wenn ich zu Ihnen spreche, aber ich habe dem König unter Ihrer Herrschaft Treue geschworen, Majestät. Ihr Sohn wird sicherlich ein unvergesslicher Karan werden, aber er ist nicht Sie. Ich habe nicht vergessen, was er Ihnen angetan hat... Und aufgrund dieser Vergangenheit werde ich ihm niemals vollständig vertrauen können! »
  
Le Duc récupéra sa lame sur la table et la regarda un moment, laissant la lumière jouer avec les reflets. Il se retourna finalement devant l’ancien Karan, l’épée à la main.
+
Yrkanis war einen Moment lang sprachlos angesichts einer solchen Aussage, entspannte sich dann aber und wandte sich an den Adligen.
  
« Je '''vous''' ai juré fidélité Majesté, et quel que soit ce que l’avenir vous réserve, sachez que j’ai lié mon destin au votre ! Je suis loin d’être un guerrier émérite, mais ma lame et mon bras vous accompagneront pour cette dernière bataille. Si vous tombez face aux Kitins, sachez que votre tombeau sera également le mien. »
+
« Wenn Sie sagen, dass Sie offen sein werden, gehen Sie ziemlich weit Herzog Reedeek! », lächelte er.
  
Yrkanis regarda fièrement le Matis. « Qu’il en soit ainsi, Duc Reedeek ! [[Jena]] Aiye ! Matis Aiye ! »
+
« Ich weiß, Majestät ... mögen Sie mir diese freie Meinungsäußerung verzeihen. »
  
«[[ Jena Aiye]] ! Matis Aiye ! » répéta le jeune Noble.
+
Der Herzog holte seine Klinge vom Tisch und betrachtete sie eine Weile, während er das Licht mit den Spiegelungen spielen ließ. Schließlich drehte er sich vor dem ehemaligen Karan um, das Schwert in der Hand.
  
''Le Medis 30, 4e CA [[2562]], Reedek disparu au cours de l'effroyable mêlée qui opposa pour la deuxième fois  l'hominité aux Kitins. Sa graine de vie ne fut point retrouvée au cours de la fuite qui s'en suivit. Certains de ses amis regrettèrent de n'avoir pu lui rendre les honneurs, d'autres espéraient encore que la karavan retrouve sa graine. Une chose est sûre, la dernière fois qu'on le vit, il était au côté de son Roi.
+
« Ich '''habe Ihnen''' Treue geschworen, Majestät, und was auch immer die Zukunft für Sie bereithält, Sie sollen wissen, dass ich mein Schicksal an das Ihre gebunden habe! Ich bin weit davon entfernt, ein hervorragender Krieger zu sein, aber meine Klinge und mein Arm werden Sie in dieser letzten Schlacht begleiten. Wenn Sie den Kitins zum Opfer fallen, wird Ihr Grab auch das meine sein. »
  
''Que Jena prenne soin de son essence.
+
Yrkanis blickte stolz auf den Matis. « So soll es sein, Herzog Reedeek! [[Jena]] Aiye! [[Matis]] Aiye! »
  
==Renaissance ou « Un mariage qui fait du bruit »==
+
« [[Jena]] Aiye! [[Matis]] Aiye! », wiederholte der junge Adlige.
Sur les registres présents aux greffes d'Avalae, on peut lire à la fin de la liste des survivants au [[Second Essaim]], noté au bas de la page et souligné d'un trait rouge par le Greffier d'alors [[Zakkk|Zakarya di Avalae]] :<br>
+
 
« Mon grand ami le Duc Riditch di Aquilon, que tous croyaient tombé sous les coups des kitins aux côtés de notre Karan [[Yrkanis Ier|Yrkanis]], est de retour dans le royaume ! - Bénie soit [[Jena]] ».<br>
+
''Am Medis 30, 4. CA [[2562]] verschwand Reedek während des schrecklichen Gefechts, bei dem die Hominheit zum zweiten Mal gegen die Kitins kämpfte. Sein Lebenssamen wurde auf der anschließenden Flucht nicht gefunden. Einige seiner Freunde bedauerten, dass sie ihm nicht die Ehre erweisen konnten, andere hofften immer noch, dass die Karavan ihren Samen finden würde. Eines ist sicher: Als man ihn das letzte Mal sah, stand er an der Seite seines Königs.
 +
 
 +
''Jena möge sich um seine Essenz kümmern.
 +
 
 +
== Wiederbelebung oder « Eine Ehe, die Lärm macht. » ==
 +
In den Aufzeichnungen in den Kanzleien von Avalae steht am Ende der Liste der Überlebenden des [[Zweiter Schwarm|Zweiten Schwarms]], die vom damaligen Kanzler [[Zakkk|Zakarya di Avalae]] unten auf der Seite vermerkt und mit einem roten Strich unterstrichen wurde:<br>
 +
« Mein großer Freund, Herzog Riditch di Aquilon, von dem alle glaubten, er sei an der Seite unseres Karan [[Yrkanis (König)|Yrkanis]] den Kitins zum Opfer gefallen, ist in das Königreich zurückgekehrt! - Gesegnet sei [[Jena]] ».<br>
 
<br>
 
<br>
Quelques pages plus loin dans le registre : « Ce jour, 11h - Tria, Frutor 15, 3rd AC 2572, en la Cité d'[[Avalae_(ville)|Avalae]], le Duc Riditch di Aquilon et [[Eloira Ba'Jeppy]] ont célébrés leur union devant [[Jena]] entourés de leurs amis, au pied de la [[Rotoa]] de [[Bravichi]] ».<br>et une annotation de la main du greffier :<br>« A surveiller :<br>
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Einige Seiten weiter im Register: "Heute, 11 Uhr - Tria, Frutor 15, 3rd AC 2572, in der Stadt [[Avalae (Stadt)|Avalae]], haben Herzog Riditch di Aquilon und [[Eloira Ba'Jeppy]] ihre Vereinigung vor [[Jena]], umgeben von ihren Freunden, am Fuße des [[Rotoa]] von [[Bravichi Lenardi|Bravichi]] gefeiert. ».<br>und ein handschriftlicher Vermerk des Gerichtsschreibers :<br>« Zu beobachten:<br>
*1 - l'hostilité de certains sujets qui voient en ce mariage une nouvelle bravade de Riditch envers le Karan [[Stevano]]<br>
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*1 - die Feindseligkeit einiger Untertanen, die in dieser Heirat eine weitere Bravour von Riditch gegenüber Karan [[Stevano]] sehen<br>
*2 - la présence en grand nombre de kamistes. (prévoir un service d'ordre afin d'éviter tout débordement d'un côté comme de l'autre !) »
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*2 - die Anwesenheit einer großen Zahl von Kamisten. (Planen Sie einen Ordnungsdienst, um Ausschreitungen auf beiden Seiten zu vermeiden!) »
 
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Quelques temps plus tard un communiqué fut publié :<br>
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Einige Zeit später wurde ein Kommuniqué veröffentlicht:<br>
« Ce jour, 00h - xxx, xxxxx xx, xrd AC 2572, La Duchesse [[Eloira Ba'Jeppy|Eloira di Aquilon]] a donné naissance à un homin, [[Clavello di Aquillon]]. La mère et l'enfant vont bien, le père également ! »<br>
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« Heute, 00h - xxx, xxxxx xx, xrd AC 2572, Herzogin [[Eloira Ba'Jeppy|Eloira di Aquilon]] hat einen Homin, [[Clavello di Aquillon]], zur Welt gebracht. Mutter und Kind geht es gut, dem Vater ebenfalls! »<br>
annoté une nouvelle fois par le Greffier :<br>
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erneut vom Kanzler mit Anmerkungen versehen :<br>
« Ne pas oublier, cette fois encore, le présent à remettre à [[Eloira Ba'Jeppy|Eloira]] et voir si éventuellement l'un des ménestrels de la Karae est disponible pour mettre en musique mon sonnet célébrant la naissance de ce petit homin. »
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« Vergessen Sie auch diesmal nicht das Geschenk für [[Eloira Ba'Jeppy|Eloira]] und schauen Sie, ob eventuell einer der Minnesänger der Karae verfügbar ist, um mein Sonett zur Feier der Geburt dieses kleinen Homin zu vertonen. »
  
==Références==
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== Referenzen ==
===Voir aussi===
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=== Siehe auch ===
 
*http://www.3025-game.de/ryzom/fr/caractere/aniro/Reedeek/profil/
 
*http://www.3025-game.de/ryzom/fr/caractere/aniro/Reedeek/profil/
*La [[boisson]] '''[[Arma-Ny'ak]]'''  
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*Das [[Getränke|Getränk]] '''[[Arma-Ny'ak]]''''
===Notes===
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=== Notizen ===
 
<references />
 
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Aktuelle Version vom 18. Mai 2023, 14:21 Uhr

de:Riditch di Aquilon
es:Riditch
fr:Riditch
 
UnderConstruction.png
Übersetzung zur Überprüfung
Gib nicht den Mitwirkenden die Schuld, sondern komm und hilf ihnen. 😎


Persönlicher Bernstein
Riditch di Aquilon,
alias Reedeek
SerReedeek.png
ᐖᐄᐛ
Rasse Matis
Geschlecht
Nation Matis
Organisation
Anbetung
Fraktion
Gilde Gardiens du Savoir
Rang Königlicher Botschafter
Geburt
Tod
Mutter
Vater
Nicht-Spieler Charakter


Riditch di Aquilon besser bekannt als Reedeek, war ein Herzog aus dem Hause Aquilon, Offizier und Sprecher der Wächter des Wissens. Er war ein königlicher Botschafter, der sich aktiv für den Frieden einsetzte und ihn als Kommissar der TENANT[1] des Königreichs überwachte und weiterentwickelte.

Biographie

Mein richtiger Name ist Riditch, aber alle nennen mich Reedeek, seit meine Tryker-Amme mich so genannt hat.

Ich erblickte zusammen mit meiner Schwester im Jahr 2540 das Licht der Welt. Unsere Mutter hatte uns einer alten Trykerin anvertraut, die uns in einer abgelegenen Gegend aufzog. Unsere Amme hatte uns erklärt, daß sie dies getan hatte, um uns zu schützen, aber sie gab uns nie zu, wovor man uns schützen wollte. Die Trykerin hatte uns mit ihrem charmanten kleinen Tryker-Akzent liebevoll Reedeek und Reda' genannt und erzog uns im alten Glauben und mit Respekt vor dem Homin-Leben. Ihrer Meinung nach hätten unsere Eltern das auch so gewollt.

Ich erinnere mich nicht an viel vor der großen Flucht vor einem Schwarm durchreisender Kitin ... ich war noch jung und leicht zu beeindrucken. Auf unserer Flucht sahen wir eine Kolonne von Flüchtlingen, die aus allen Himmelsrichtungen kamen. Da wir wussten, daß unser Überleben in einer Gruppe sicherer war, mischten wir uns unter sie. Wir waren jedoch nicht in Sicherheit und die Zahl der Flüchtlinge nahm ab, je mehr wir auf Kitin, Raubtiere und Räuber trafen.

Doch es lauerte noch eine weitere Gefahr: Einige Mitglieder waren mit Goo infiziert worden und griffen schließlich in einem Moment des Amoklaufs andere an. Ich selbst hätte in diesem Moment fast meinen Samen des Lebens verloren, aber mein Angreifer wurde von einem Paar großer Zoraï niedergestreckt: Dr. Rorschak und seine Frau. Wie zwei Exterminatoren begannen sie, die Infizierten abzuschlachten. Ich nutzte die Gelegenheit, um zu fliehen, wobei ich meine Schwester und unser Kindermädchen aus den Augen verlor.

Ich setzte mein Leben im Dschungel fort und wurde zu einem Meister des Überlebens. Ich lernte, meine Nahrung selbst zu finden, indem ich grub. Die Jagd wäre eine gute Alternative gewesen, aber ich habe es vorgezogen, davon Abstand zu nehmen. Die Raubtiere von Atys wissen, wie sie die Vermessenen bestrafen, die ihr Wild begehren... Junge Homins lernen ihre Lektion in der Regel gut, denn sie machen diesen dummen Fehler nie wieder ... und sie machen auch keine Fehler mehr: Verstorbene machen keine Fehler mehr. In den Jahren, in denen ich mich auf der Suche nach Nahrung durch den Boden gebohrt hatte, war ich in diesem Bereich sehr gut geworden.

Nach einigen Jahren des Überlebens und abgeschnitten von der Außenwelt stieß ich schließlich auf andere Homins. Ich hatte das Lager von Chiang dem Starken auf Silan gefunden. Dort traf ich meine Schwester, die von unserer Amme hierher geführt worden war, und auch das Zoraï-Paar, das mir vor einigen Jahren das Leben gerettet hatte. Sie hatten sich auf Silan niedergelassen und halfen den neuen Flüchtlingen. Es war eine große Erleichterung, meine Schwester wiederzusehen, und wir ließen uns auch in Chiangs Siedlung nieder, wo wir ihnen ab und zu kleine Dienste leisteten. Ich freundete mich auch mit Dr. Rorschak und seiner Frau Chami an. Ihnen war es zu verdanken, daß wir wieder auf den Kontinent reisen konnten.

Dr. Rorschak hatte ähnliche Überzeugungen wie unsere alte Amme: Er betonte, wie wichtig es sei, daß sich die Homins gegenseitig halfen... Atys ist ein gefährlicher Planet, und nur durch gegenseitige Hilfe können die Homins den verschiedenen Bedrohungen begegnen. Sein Pragmatismus, der völlig frei von den religiösen Vorstellungen der Kami oder der Karavan war, hatte einen großen Einfluss darauf, wie ich die Dinge betrachtete. Jedem Homin muß geholfen werden, denn man weiß nicht, ob dieser Homin morgen nicht seinerseits einem das Leben rettet.

Reda' entwickelte bei unserer Ankunft eine seltsame Krankheit. Sie hatte sich nie anderen Homins als mir, unserem Kindermädchen und gelegentlich Rorschak und Schami genähert. Als sie mit der Zivilisation in Kontakt kam, stellte sich heraus, daß ein einfacher Körperkontakt mit anderen Menschen bei ihr eine Trance auslösen konnte. Ihre Sensibilität für den Gesang von Atys, der in unserer Oase der Einsamkeit immer ein Segen gewesen war, wurde nun zu einem Handicap. Sie zog sich daraufhin in einen geheimen Raum im Baumhaus zurück, der so weit wie möglich von den Geräuschen der Umgebung abgeschirmt war. Sie kam hauptsächlich heraus, um im Wald spazieren zu gehen, zu meditieren, zu bohren oder die Pracht der Schöpfung der Erzeugerin zu bestaunen. Um sie zu schützen, hatte ich die Anzahl der Personen, denen ich von ihr erzählte, eingeschränkt. Als mich einige Zeit später die Marodeure wegen meines pazifistischen Engagements ins Visier nahmen, konnte ich nur froh sein, daß sie nichts von der Existenz von Reda' wussten. Zumindest noch nicht...

Parallel dazu hatte ich das Glück, Nanouh in Yrk zu treffen, der erste Kontakt war sofort freundlich und angenehm, also beschloss ich, ihr eine Weile bei den Wächtern zu assistieren. Aber die Wächter haben eine Pflicht gegenüber König Yrkanis und der Karavan, die sie manchmal zu Handlungen zwingt, die im Widerspruch zu meinen Überzeugungen standen. Ich war gezwungen, sie zu verlassen, um ihnen nicht zu schaden, aber wir blieben gute Freunde. Als die Wächter später ihre interne Organisation umgestalteten und ein "hoministisches" Korps eröffneten, boten sie mir an, mich ihnen wieder anzuschließen. Ich war froh, Nanouh in einem Umfeld wiederzutreffen, das meinen Überzeugungen entgegenkam, und stimmte zu, zu ihnen zurückzukehren.

Als das Fyros-Imperium und das Matis-Königreich in den Krieg eintraten, war ich entsetzt: Fast alle Homins, denen ich begegnete, sprachen nur von Massakern und Schlachten. Die Hominheit wurde verrückt und nur einige wenige Homins predigten eine diplomatische Lösung. Während einer Taliari-Sitzung bei den Trykern hatte ich das Vergnügen, eine der wenigen Homins zu treffen, die der Weisheit den Vorzug gaben: die Erwachte Zoraï Ki'atal. So begann eine lange Freundschaft, die von gegenseitiger Hilfe geprägt war. Ihre Ruhe und ihre Weisheit waren für jeden, der nach Frieden strebte, unverzichtbar und sie wurde schnell zur Passionaria der Friedensbewegung, die sich in den Köpfen der Homins festsetzte. Heute sind Ki'atal und alle Mitglieder der TENANT-Kommission, die den Vier-Nationen-Vertrag umschreiben sollten, treue Freunde geworden. Was mich betrifft, so wurde ich von der königlichen Familie beauftragt, Botschafter des Königreichs zu werden, aber auch der Matis-Abgesandte für die Wiederherstellung des Friedens, der sich aktiv für den Frieden einsetzt und seinem Karan treu dient.

Erst vor kurzem erfuhr ich die Wahrheit über meine Familie, als ich mich mit mehreren Mitgliedern der Wa Kwai in den Thermen von Pyr erholte. Zu meiner Überraschung sah ich Eleena alias Psychee "die weiße Zorai", die intensiv auf das Medaillon starrte, das ich um den Hals trug. Sie erzählte mir die Geschichte der Familie, zu der das Wappen an meinem Anhänger gehörte, es war die Geschichte ihrer Familie. Je weiter die Geschichte voranschritt, desto mehr kam die Wahrheit ans Tageslicht: Psychaea war meine Mutter. Freude, Ungläubigkeit und völlige Überraschung wechselten sich in meinem Kopf rasend schnell ab. Aber letztendlich war es doch die Freude, meine Mutter wiedergefunden zu haben, die die Emotion war, die tief in meinem Inneren fortdauerte... Wir haben noch einiges aufzuholen.

Titel und Ruhm

  • Herzog des Hauses Aquilon
  • Offizier und Sprecher der Hüter des Wissens
  • Königlicher Botschafter
  • Herrschender Kommissar des Königreichs

Errungenschaften

In memoriam

Melonez war besorgt, als er sah, wie Reedeek in dem großen, frisch renovierten Salon mit schweißnasser Stirn im Kreis lief und vergeblich in den Rotoa-Blumen und den Porträts seiner Mutter nach Antworten auf die Fragen suchte, die ihn quälten.

Er war verwirrt. Zum x-ten Mal war seine Schwester Reda - die Schwester, deren Existenz er mit allen Mitteln vor den Augen der Menschheit verborgen hatte, um sie zu schützen - von dem Lied von Atys berührt worden. Ihre Worte waren nicht ermutigend, denn sie hatte immer wieder gerufen: "Das ist das Ende! Das ist das Ende der Hominheit!!!". Was bedeuteten diese verhängnisvollen Worte?

Er dachte gerade darüber nach, als ein hochgewachsener Matis an Melonez vorbeikam und ihm unauffällig zu verstehen gab, daß er seine Ankunft nicht ankündigen sollte. Melonez sah den Neuankömmling an und versuchte, ihn anzustarren, doch sie blieb stumm und nur Verblüffung war auf ihrem Gesicht zu sehen, als sie die Identität des Matis entdeckte.

Reedeek, der immer noch in Gedanken versunken war, hatte noch nichts gesehen.

« Deles silam Ser Reedeek, ich störe doch nicht? »

Der Herzog drehte sich um, um seinem Gesprächspartner gegenüberzustehen, und erstarrte seinerseits, beeindruckt von der Anwesenheit seines Gastes... Nie hätte er geglaubt, dass der ehemalige Karan selbst ihm die Ehre eines Besuches erweisen würde. Ungläubig stammelte er:

« Na Karan?! Aber was...? »

« Ich bin nicht mehr Karan Duc Reedeek, dieser Titel ist nun der meines Sohnes Stevano. »

Der Herzog zog eine Grimasse. « Ich weiß, Majestät... Aber für mich werden Sie immer mein Karan bleiben. Was verschafft mir die Ehre Ihres Besuchs? »

« Herzog Rodi hat mir von Ihrem ... Widerwillen ... berichtet, mich als Anführer gegen die Kitins zu sehen. Ich möchte wissen, warum Sie meine Anwesenheit auf dem Schlachtfeld anzweifeln! Glauben Sie wirklich, dass ich zu alt dafür bin? »

« Nec Majestät! Sie sind nicht dort! Es ist eine Ehre für mich und alle Ihre Untertanen, an Ihrer Seite zu kämpfen, aber... » Die Stimme des Herzogs war erstickt und er konnte den Satz nicht zu Ende bringen.

« Aber was? » fragte Yrkanis.

Reedeek starrte seinen Gast mit ernstem Gesicht an. « Darf ich offen sprechen, Majestät? »

« Das wird mich von all den Leuten ablenken, die mich mit Samthandschuhen anfassen und unerträglich selbstgefällig sind. Ich bin zwar alt, aber deswegen bin ich nicht gebrechlich! »

« Herzog Rodi hat uns bereits das Gleiche gesagt, Majestät... », sagte Reedeek lächelnd. « Meine Schwester und ich haben eine gemeinsame Gabe. Wir sind beide anfällig für den Gesang von Atys ... obwohl sie viel empfindlicher dafür ist als ich. Ich habe also auch eine kleine mediale Seite und ... » Er ließ den Satz einen Moment lang stehen.

« Bitte fahren Sie fort. »

« ... Und ich habe das starke Gefühl, dass Sie diesen Angriff als Einbahnstraße in Betracht gezogen haben. Ich bin der festen Überzeugung, dass Sie sich entschieden haben, mit dem Schwert in der Hand im Angesicht der größten Bedrohung der Hominität zu sterben. »

Yrkanis richtete seinen Blick auf die blühenden Rotoas und versuchte weder, die Worte des Herzogs zu dementieren noch zu bestätigen.

« Wenn man gegen eine solche Bedrohung kämpft, ist der Tod eine Möglichkeit, die jeder Krieger in Betracht ziehen muss. Ich habe das Volk der Matis auf mehr als einem Schlachtfeld angeführt, Herzog Reedeek, und meine Männer haben nicht gezögert, an die Front zu gehen, obwohl sie sich eines solchen Ausgangs durchaus bewusst waren. Jetzt einen Rückzieher zu machen, würde das Andenken der tapferen Homins beleidigen, die ihr Leben für mich geopfert haben. Verstehen Sie das? »

« Ich verstehe na Karan... Ich weiß, dass Sie nicht möchten, dass ich diesen Titel benutze, wenn ich zu Ihnen spreche, aber ich habe dem König unter Ihrer Herrschaft Treue geschworen, Majestät. Ihr Sohn wird sicherlich ein unvergesslicher Karan werden, aber er ist nicht Sie. Ich habe nicht vergessen, was er Ihnen angetan hat... Und aufgrund dieser Vergangenheit werde ich ihm niemals vollständig vertrauen können! »

Yrkanis war einen Moment lang sprachlos angesichts einer solchen Aussage, entspannte sich dann aber und wandte sich an den Adligen.

« Wenn Sie sagen, dass Sie offen sein werden, gehen Sie ziemlich weit Herzog Reedeek! », lächelte er.

« Ich weiß, Majestät ... mögen Sie mir diese freie Meinungsäußerung verzeihen. »

Der Herzog holte seine Klinge vom Tisch und betrachtete sie eine Weile, während er das Licht mit den Spiegelungen spielen ließ. Schließlich drehte er sich vor dem ehemaligen Karan um, das Schwert in der Hand.

« Ich habe Ihnen Treue geschworen, Majestät, und was auch immer die Zukunft für Sie bereithält, Sie sollen wissen, dass ich mein Schicksal an das Ihre gebunden habe! Ich bin weit davon entfernt, ein hervorragender Krieger zu sein, aber meine Klinge und mein Arm werden Sie in dieser letzten Schlacht begleiten. Wenn Sie den Kitins zum Opfer fallen, wird Ihr Grab auch das meine sein. »

Yrkanis blickte stolz auf den Matis. « So soll es sein, Herzog Reedeek! Jena Aiye! Matis Aiye! »

« Jena Aiye! Matis Aiye! », wiederholte der junge Adlige.

Am Medis 30, 4. CA 2562 verschwand Reedek während des schrecklichen Gefechts, bei dem die Hominheit zum zweiten Mal gegen die Kitins kämpfte. Sein Lebenssamen wurde auf der anschließenden Flucht nicht gefunden. Einige seiner Freunde bedauerten, dass sie ihm nicht die Ehre erweisen konnten, andere hofften immer noch, dass die Karavan ihren Samen finden würde. Eines ist sicher: Als man ihn das letzte Mal sah, stand er an der Seite seines Königs.

Jena möge sich um seine Essenz kümmern.

Wiederbelebung oder « Eine Ehe, die Lärm macht. »

In den Aufzeichnungen in den Kanzleien von Avalae steht am Ende der Liste der Überlebenden des Zweiten Schwarms, die vom damaligen Kanzler Zakarya di Avalae unten auf der Seite vermerkt und mit einem roten Strich unterstrichen wurde:
« Mein großer Freund, Herzog Riditch di Aquilon, von dem alle glaubten, er sei an der Seite unseres Karan Yrkanis den Kitins zum Opfer gefallen, ist in das Königreich zurückgekehrt! - Gesegnet sei Jena ».

Einige Seiten weiter im Register: "Heute, 11 Uhr - Tria, Frutor 15, 3rd AC 2572, in der Stadt Avalae, haben Herzog Riditch di Aquilon und Eloira Ba'Jeppy ihre Vereinigung vor Jena, umgeben von ihren Freunden, am Fuße des Rotoa von Bravichi gefeiert. ».
und ein handschriftlicher Vermerk des Gerichtsschreibers :
« Zu beobachten:

  • 1 - die Feindseligkeit einiger Untertanen, die in dieser Heirat eine weitere Bravour von Riditch gegenüber Karan Stevano sehen
  • 2 - die Anwesenheit einer großen Zahl von Kamisten. (Planen Sie einen Ordnungsdienst, um Ausschreitungen auf beiden Seiten zu vermeiden!) »


Einige Zeit später wurde ein Kommuniqué veröffentlicht:
« Heute, 00h - xxx, xxxxx xx, xrd AC 2572, Herzogin Eloira di Aquilon hat einen Homin, Clavello di Aquillon, zur Welt gebracht. Mutter und Kind geht es gut, dem Vater ebenfalls! »
erneut vom Kanzler mit Anmerkungen versehen :
« Vergessen Sie auch diesmal nicht das Geschenk für Eloira und schauen Sie, ob eventuell einer der Minnesänger der Karae verfügbar ist, um mein Sonett zur Feier der Geburt dieses kleinen Homin zu vertonen. »

Referenzen

Siehe auch

Notizen

  1. Diese Kommission bemüht sich, den Vertrag für das Gleichgewicht der atysischen Nationen in den neuen Landen durchzusetzen.